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Eder Le Duc, un jeune auteur haïtien brise le silence sur la dépression et l’injustice avec son nouveau livre “L’inexistence de mon bonheur”.
Son livre, “L’inexistence de mon bonheur”, plonge le lecteur dans l’univers de Déborah, une adolescente confrontée à la dépression, le viol et l’injustice sociale. À travers ce récit poignant, Eder Le Duc cherche à ouvrir le dialogue sur des réalités souvent ignorées et à offrir un espace de réflexion pour ceux qui souffrent en silence.
Eder Le Duc explique que son objectif en écrivant ce livre était de briser le silence autour de sujets douloureux et de donner une voix à ceux qui en ont besoin. Il souligne que les retours reçus jusqu’à présent ont été extrêmement positifs, beaucoup de lecteurs exprimant leur gratitude pour la manière dont ces thématiques délicates sont traitées.
Eder Le Duc lors d’une interview avec Juno7 souhaite transmettre un message d’espoir : “Peu importe les défis auxquels vous faites face, n’abandonnez jamais. Croyez en vos rêves, poursuivez vos passions, et n’ayez pas peur de parler des réalités qui vous touchent, même si elles sont difficiles à affronter. La justice et le bonheur peuvent parfois sembler inaccessibles, mais je suis convaincu que nous pouvons tous, à notre manière, contribuer à rendre ce monde un peu meilleur.”
Le livre est disponible à la Pléiade, chez Astérix, et sur Amazon. Pour ceux qui souhaitent plus d’informations sur la disponibilité, Eder Le Duc invite également à le contacter directement sur ses réseaux sociaux.
Pour suivre ses projets et ses réflexions, n’oubliez pas de consulter son podcast JeudiConfession, à travers il continue de donner la parole aux jeunes.
Eder Dorvilien, connu sous le pseudonyme d’Eder Le Duc, est un créateur de contenu, photographe et auteur, récemment célébré pour la publication de son ouvrage L’inexistence de mon bonheur.
Né à Chardonnière, une commune du sud d’Haïti, Eder a suivi un parcours académique riche et varié, débutant ses études classiques à l’école Baptiste de Delibarin, puis au Lycée Jean-Jacques Dessalines, et terminant à l’Institution de la Formation Classique, Professionnelle et Sportive (IFCPS). Sa passion pour l’art l’a conduit à se former en photographie sous la direction du professeur Jean Findy, et il est actuellement étudiant en communication.