Les titres du mardi 6 février 2018

Haïti / Carnaval / Santé publique
Le ministère de la Santé publique dévoile un train de mesures devant contribuer au bon déroulement du carnaval national les 11, 12 et 13 février prochain. A cet effet, il est formé un comité national d’urgence et de secours qui sera chargé de prendre des décisions relatives aux risques d’accident et de transmission de maladie. Des postes médicaux avancés seront installés dans l’air du Champ de mars.

Haïti / Carnaval / Sécurité
Durant le carnaval de Port-au-Prince, le ministère de l’Intérieur envisage de déployer 500 brigadiers volontaires pour assister les personnes en difficulté. Les chars et les stands seront inspectés. Ils doivent disposer d’extincteurs, recommande le ministre Max Rudolph Saint-Albin. Ces dispositions viendront en appui à celles arrêtées par la police nationale.

Haïti / Rép. Dom. / Visa
Les autorités consulaires dominicaines ont décidé de revoir à la hausse les frais de demandes de visa qui seront formulées par les Haïtiens. Ces frais sont passés de 230 à 350 dollars.

Haïti / Corruption
Le Secteur démocratique et populaire encourage la justice haïtienne à enquêter sur les sénateurs, démolisseurs du rapport sur la gestion du Fonds Petro Caribe. Cette plateforme de l’opposition politique, annonce que des gens provenant des départements du Nord et des Nippes vont déposer, ce mardi, une plainte au cabinet d’instruction, à Port-au-Prince, contre certaines personnalités indexées dans ce rapport.

Haïti / Police / Parlement
La police parlementaire n’est pas une fiction. Selon Me Enock Géné Génélus, ancien chef du parquet des Gonaïves, des hommes dument identifiés comme étant membres d’une police parlementaire avaient assuré la protection de certains députés et sénateurs durant le carnaval organisé dans la métropole du Haut-Artibonite. Certains de ces hommes sont des bandits réputés, révèle Me Génélus citant Black, Aboulò et Junior ainsi connus.

Haïti / Transport
Inauguration, ce lundi, du Centre de Coordination, de Recherche et de Sauvetage. Haïti a mis 67 ans avant de répondre à cette recommandation de l’Organisation de l’Aviation civile internationale et de l’Organisation maritime internationale.

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