Dunord Sileus se défend contre l’ISPAN: “je fais construire un bloc sanitaire pour éviter la defecation à même le sol”

Dunord Sileus se défend, “je fais construire un bloc sanitaire sur le site logeant la maison de l’Empereur Jacques 1er pour éviter la defecation à meme le sol”

“Il ne s’agit pas de construire des latrines mais plutot un bloc sanitaire afin d’eviter aux touristes de faire leurs besoins à même le sol, comme c’est le cas actuellement”, a rectifié l’agent intérimaire Dunord Sileus qui dénonce les conclusions hatives de l’Institut de Sauvegarde du Patrimoine National. Son acte, dit il, loin de porter atteinte à la mémoire de l’empereur, traduit plutot l’expression de son patriotisme.

Dans une entrevue accordée à Juno7, Dunord Sileus reproche à l’Ispan d’avoir effectué sa demarche en dehors des principes adminjstratifs. “Je n’ai reçu aucune lettre et personne ne m’a contacté pour s’enquerir de la situation. C’est sur les reseaux sociaux, comme tout le monde, que j’ai eu connaissance de cette lettre dont je suis pourtant le destinataire.”

L’agent exécutif Intérimaire de Dessalines- Ville invite l’Ispan à ne pas réagir sur le coup de l’émotion, mais à se rendre sur le site de la maison de l’empereur Jacques 1er afin de constater par lui-meme, le mauvais état dans lequel il se trouve.

Dunord Sileus tout en signalant le mauvais état dans lequel se trouve le site depuis des années, a apporté plus de précisions concernant sa décision de construire ce bloc sanitaire. Il est difficile de rester sur le site à cause de l’odeur insuportable dégagée par l’ancienne latrine du site qui se trouve en très mauvais état.” Il explique que par la construction  de ce bloc sanitaire, il resoudra ce probleme auquel le site fait face depuis des années.

En plus de la latrine qui se trouve en très mauvais état alors que l’ISPAN ne s’est jamais penché sur la situation, Dunord Sileus signale que le site est également habité par des gens qui fument de la marijuana, et des enfants qui font leurs besoins à même le sol.

Sileus attire en outre l’attention sur le fait que l’ISPAN n’a engagé aucun agent pour surveiller le site. Le seul agent qui s’y trouve actuellement  a été engagé par la mairie.

Par ailleurs, le site de la maison de l’empereur Jacques 1er est loin d’être le seul site historique à se trouver en mauvais état, souligne Sileus qui cite en exemple la maison de Claire Heureuse et celle de Charlotin Marcadieu, toutes les deux habitées par plusieurs personnes.

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