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L’Organisation Mondiale de la Santé craint une propagation mondiale de l’épidémie Mpox à l’origine de 581 décès depuis janvier en République Démocratique du Congo.
L’épidémie Mpox appelée variole du singe a causé la mort à 581 personnes depuis janvier en République Démocratique du Congo, a indiqué l’Organisation Mondiale de la Santé qui craint une propagation mondiale de cette maladie. En ce sens, l’OMS mène à présent une mission d’évaluation de l’activité du virus, a rapporté le journal Le Monde.
“Il s’agit du nombre de cas le plus élevé jamais signalé pour une année, certains dans des zones géographiques qui n’avaient jamais fait état de cas de mpox auparavant, y compris à Kinshasa, Lualaba et dans le Sud-Kivu”, a indiqué un rapport de l’Organisation Mondiale de la Santé cité par Le Monde.
De janvier 2023 jusqu’à samedi 25 novembre, l’OMS a enregistré 12 569 cas suspects de variole du singe dont 581 morts en République Démocratique du Congo de janvier au 12 novembre dernier.
Inquiète face à la montée de cette maladie, l’Organisation Mondiale de la Santé mène actuellement une mission avec les autorités sanitaires en République Démocratique du Congo pour évaluer la situation.
Un total de 91 788 cas de mpox confirmés en laboratoire, dont 167 décès, a été déclarés dans 116 pays et territoires de janvier 2022 au 31 octobre 2023, selon l’OMS.
Les symptômes courants de Mpox sont une éruption qui peuvent apparaître sur les organes génitaux ou dans la bouche. Ils commencent par de la fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires, des douleurs dorsales, un manque d’énergie et un gonflement des ganglions lymphatiques (adénopathie).
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