Photo: Maxime Louissaint | Juno7
Des carcasses de voitures incendiées par les groupes armés à l’avenue Magloire Ambroise, située à environ une centaine de mètres du palais national d’Haïti.
La capitale de Port-au-Prince est réputée depuis environ un mois comme champ de guerre, qui oppose les forces de l’ordre et les groupes armés.
La crise continue de s’installer alors qu’un décret portant sur la nomination des membres du conseil présidentiel est publié cette semaine, ce qui devrait être suivi par l’investiture au palais national, qui résiste à l’assaut des groupes armés.
Un cadavre jonché sur le sol à quelques mètres du palais présidentiel.
L’avenue Magloire Ambroise, une rue désertée par les résidents de cette zone en raison de la violence des gangs.
Des riverains du champ de mars qui viennent de se ravitailler. Un enfant des rues s’endorme alors que le champ de mars est sombré par les détonations. Vents et marée, sous les tirs nourris, ce travailleur fait partie des intrépides qui bravent le centre-ville de Port-au-Prince. Collet d’une balle suite à des tirs dans les périmètres du palais présidentiel haïtien.
Une commerçante venant du centre-ville avec sa marchandise.
Photo: Maxime Louissaint | Juno7
Des carcasses de voitures incendiées par les groupes armés à l’avenue Magloire Ambroise, située à environ une centaine de mètres du palais national d’Haïti.